2012 ASCO Annual Meeting-Chicago/USA

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jeudi 1 mai 2008

Le cancer, une maladie angoissante




Le cancer, une maladie angoissante.

Un vieillard de 78ans reçu dans notre cabinet médical ayant un cancer du foie au stade avance déjà diagnostiqué dans l’un des hôpitaux universitaire. Le malade nous est arrivé avec une forte douleur hypogastrique et un globe vésical : rétention urinaire. Apres nos investigations, nous avons trouve une augmentation du volume de la prostate a surface lisse, moins sensible avec sillon médian comble.
Ces éléments nous ont poussée à penser à un adénome de la prostate.
Le sondage de la vessie était très difficile pour permettre l’évacuation de la vessie. Heureusement que nous avons réussi à faire une ponction sus-pubienne de drainage de la vessie qui a permis au malade d’obtenir un soulagement.

Le malade vie avec son cancer du foie stade inopérable depuis quelques années, ce qui est considère dans nos sociétés africaines comme un malheur. Mais curieusement, un deuxième malheur vient s’ajouter, donc un 2e cancer qui créer un déséquilibre du système physiologique d’une personne survivante d’un cancer qui n’attend qu’achever sa vie avec dignité. Cet équilibre manquée il lui sera obligée d’être fréquent a l’hôpital ou carrément vivre avec une cystostomie, ce qui ne fait qu’accentuer le gène.
Donc pour lui la vie devient amère à sa fin a cause d’une maladie incurable.

Un tel malade devrait en principe bénéficier d’un traitement palliatif et même chimiothérapie a antimitotique, ce qui est difficile a notre niveau (antimitotiques non disponibles).
En voyant le chiffre de personnes mortes par cancer, le traitement anti-cancéreux devrait être pris dans les priorités comme les ARV et devrait en réalité attirer l’attention de bailleurs pour les pays en voie de développement puissent accéder a ce traitement, si non les malades de ces régions sont voues a la mort.

Quand le malade de ce genre nous arrive, nous semblons partager son malheur sans faire grand-chose pour lui faute des moyens, d’où l’angoisse du malade touche aussi son médecin.

A ce message, je joins la photo du malade après son soulagement par ponction sus-pubienne.

Dr Mateus SAHANI
AGIR ENSEMBLE.

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